Le syndrome d'alcoolisation foetale (SAF), quand maman boit et que bébé trinque

Devoir d'alimentation-santé de première année de BTS ESF Sujet : sensibilisation à l'alimentation de la femme enceinte ; quelles activités physiques ; suivi ; conseils ; risques et conséquences ; support PowerPoint et participation active du public (leur poser des questions : que savez-vous de ce sujet, qu'est-ce que cela signifie, qu'est-ce que c'est, que pensez-vous de cet exemple,...)

Extrait sur les risques et conséquences : le SAF

Quel qu’il soit (vin, bière, champagne, alcool fort), l'alcool constitue un danger pour l’embryon, le foetus, bref : le bébé. Il convient donc de ne consommer aucune boisson alcoolisée pendant la grossesse.

Quand une femme enceinte absorbe de l’alcool, son sang en contient et par extension le sang du bébé va en contenir autant. Ainsi ses connexions neurologiques en construction seront en partie détruites et des malformations risquent de s’y allier. Les zones touchées dépendent du moment de consommation d’alcool durant la gestation (cf : image jointe).

Aujourd’hui 500 000 personnes (source perdue désolée) vivent avec le handicap du syndrome d’alcoolisation foetal (SAF) en France. De plus, on estime que 7000 enfants naissent chaque année avec le SAF ou 1 enfant sur 100 (cf en cliquant ici ici : JT France 2 du 10/12/2008). Malgré ce fait, aucune dose limite n’est actuellement connue pour fixer un seuil de risque pour le développement neurologique de l’enfant. En effet, les études ont prouvé qu’un seul verre peut avoir des conséquences autant catastrophiques qu’irréversibles, puisqu’aucun traitement n’existe actuellement.

Chaque année, une marche pour les victimes du SAF a lieu dans le but non seulement de les soutenir, mais aussi de collecter des dons pour financer les recherches.

Recherches effectuées à l'instance régionale d'éducation et de promotion de la santé (IREPS) d'Alsace